C’est un « prérequis fondamental pour la paix », estime-t-elle. Interrogée sur un possible lien avec le mouvement #MeToo, Berit Reiss-Andersen a répondu que ce mouvement « et les crimes de guerre ne sont pas la même choses ». Mais il y a en commun « le fait de voir la souffrance des femmes, les abus, et de les partager ».
Les Nations unies ont salué une annonce « fantastique » qui « aidera à faire avancer le combat contre les violences sexuelles comme arme de guerre dans les conflits ». « C’est une cause chère aux Nations unies », a précisé la porte-parole de l’ONU à Genève, Alessandra Vellucci.