Foued, 32 ans, croisé rue du 8 mai 1945, est plus sceptique. « Ici tout le monde cohabite, on n’a pas plus de problème qu’ailleurs. À mon avis, on n’a pas besoin de ce type de plan. Ça peut même avoir l’effet inverse et faire croire qu’il y a plus de racisme et d’actes antisémites à Sarcelles alors que ce n’est pas le cas. »
*Les prénoms ont été modifiés