À quelques mètres du café où elles s’installent, Georges est plus mesuré. « Ça dépend de ce qui sera proposé, est-ce que ça sera vraiment du concret ou juste des promesses sur papier », interroge-t-il. Près des Flanades, sur la place de France, Djamila, 52 ans, estime que les « gens vivent bien à Sarcelles. C’est toujours intéressant d’avoir des actions où les habitants peuvent apprendre les uns sur les autres ».
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