À quelques mètres du café où elles s’installent, Georges est plus mesuré. « Ça dépend de ce qui sera proposé, est-ce que ça sera vraiment du concret ou juste des promesses sur papier », interroge-t-il. Près des Flanades, sur la place de France, Djamila, 52 ans, estime que les « gens vivent bien à Sarcelles. C’est toujours intéressant d’avoir des actions où les habitants peuvent apprendre les uns sur les autres ».
Le grand plan de Sarcelles pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme

Sarcelles, ce mercredi. La ville vient de lancer un plan territorial de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les discriminations. LP/M.G