Et après ?
Certains préconisent que le coronavirus changera le monde d’une façon permanente.
La linguiste américaine Deborah Tannen, par exemple, suggère que le paradoxe de la communication en ligne sera renforcé : plus de distance physique, oui, mais aussi une meilleure qualité de la « connexion », c’est-à-dire de la présence sociale (plus d’intimité et moins de distance psychologique).