Chez les mineurs, le bilan est le même lorsque l’enfant est âgé de moins de 10 ans : ces habitudes alimentaires sont positivement corrélées au niveau d’étude de son parent représentant. Une observation qui ne se vérifie pas chez les adolescents (entre 11 ans et 17 ans), où « l’alimentation semble globalement moins associée au niveau d’études du représentant que chez les enfants, conséquence possible d’une plus grande autonomie dans leurs choix alimentaires », détaille l’Anses.
L’alimentation, grand marqueur des inégalités sociales en France
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