Un juge a ordonné que Joao « Jan » Rodrigues, un commis de la Direction de la sûreté et apparemment la dernière personne à avoir vu Timol avant sa mort, soit accusé du meurtre de Timol ainsi que d’avoir empêché ou fait obstruction à l’administration de la justice. Rodrigues a demandé une suspension définitive des poursuites. Une décision sur ce point est pendante.
Si cette suspension était accordée, elle s’appliquerait non seulement à Rodrigues mais aussi à tous les anciens agents de sécurité et agents de l’État qui seraient de fait dispensés de rendre compte de leurs actes à l’avenir. La défense de Rodrigues soutient qu’un procès contre lui serait inéquitable en raison du temps qui s’est écoulé depuis le meurtre de Timol.