La justice sud-africaine rouvre les dossiers de l’apartheid

Le 27 octobre 1971, les parents du militant anti-apartheid sud-africain Ahmed Timol sont informés que leur fils s’est suicidé en se jetant par la fenêtre de la salle 1026, place John Vorster, au célèbre quartier général de la police, au centre de Johannesburg.

article signé Kylie Thomas publié sur le site theconversation.com, le 22 05 2019

Timol était membre du parti communiste sud-africain. C’était aussi un enseignant très apprécié. Sa famille est convaincue qu’il a été assassiné par la police. Un point de vue largement partagé par tous ceux qui s’opposent à l’apartheid à l’époque.