« Un smartphone a été retrouvé ; son propriétaire est prié de venir le récupérer à la mosquée. » À Ath Waâvane, village de montagne perché sur les flancs du Djurdjura, le haut-parleur du minaret égrène les annonces. Depuis quatre ans, il ne lance plus les appels à la prière. « L’imam salafiste voulait changer nos traditions pour un islam intégriste ; nous l’avons expulsé ! » révèle un membre de Tajmaât, le Comité de village.
En Kabylie, le festival de rue Racont’Arts défie l’intolérance
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