J’ai décidé d’en parler directement à mon rédacteur en chef. Mais il n’a rien fait. Le « journaliste insulteur » continuait de me narguer dans les couloirs, avec un sourire en coin. Au bout d’un moment, je suis retournée voir le rédacteur en chef, je l’ai confronté à nouveau. Là, il m’a répondu : « Tu sais, je peux te blacklister », je lui ai dit « vas-y » et c’est ce qu’il a fait. Depuis 2010, je n’ai plus pu travailler chez moi, à Lyon.
0
Vous aimerez aussi
19.06.2017