Inefficace, coûteux, mortel, l’emmurement du monde se poursuit

C’est aux États-Unis que l’information est la plus accessible et permet de se faire une idée du coût d’une gigantesque infrastructure frontalière. Elle n’est en effet pas seulement un mur physique avec des fondations maçonnées, des pylônes, des panneaux en béton, voire des barbelés hérissés de rasoirs, mais aussi des caméras thermiques, des senseurs, des capteurs, des drones, des patrouilles humaines, canines, robotisées…