Le chef des identitaires est un habitué des salles d’audiences. En septembre, condamné pour violences, il annonçait son intention de faire appel. Quelques mois plus tôt, Verhassel avait été relaxé pour un possible « fight » avec des supporters bordelais. À l’époque, son casier judiciaire comprenait déjà six mentions, essentiellement pour… violences.