Estelle Grelier a salué un « message politique et symbolique très fort » sur ce sujet « pas ordinaire » de la mort. Elle a jugé que « faire vivre la laïcité, ce n’est pas seulement la protéger, la préserver, c’est lui donner les moyens d’évoluer et de répondre aux mutations de la société ».
Côté Les Républicains, Jean-Pierre Decool (apparenté) a salué une ambition « louable ». Mais il a estimé que ce texte imposait aux maires « une nouvelle charge », hors de leur compétence. « Chacun son métier », a-t-il notamment plaidé.