Pendant des décennies, les immigrés italiens ont subi toutes sortes de discriminations aux États-Unis, rappelle The New York Times. Souvent assimilés aux populations africaines-américaines, ils ont vu leur destin changer à la suite d’un massacre… et de la proclamation d’une fête nationale.
Le Congrès imaginait une Amérique blanche, protestante et culturellement homogène quand il déclarait en 1790 que seules “les personnes blanches et libres qui ont émigré aux États-Unis ou seront appelées à le faire” pouvaient prétendre à devenir des citoyens nationalisés. Il a rapidement révisé son jugement quand des flux de migrants de divers pays d’Europe ont changé la face du pays.