En situation précaire, ces jeunes du programme « veille active » apprécient de se rendre utiles

D’abord à Nanterre et Rueil-Malmaison d’ici juin. Puis à tout le département à la fin de l’été. « On n’a pas de temps à perdre, assure Philippe Da Silva. On risque de le payer plus tard si on ne fait pas de la prévention dès maintenant. »