En situation précaire, ces jeunes du programme « veille active » apprécient de se rendre utiles

Quentin acquiesce. « Ça fait un an que je cherche du travail et je ne trouve rien… Avec le confinement, c’est pire. En ce moment, je survis », souffle le jeune homme. Pour Philippe Da Silva, « même le déconfinement va être difficile ».

« Certains jeunes ont perdu un stage, une formation professionnelle. Ils sont dans l’angoisse, dans l’incertitude, observe le chargé de mission. Comment va-t-on les récupérer après tout ça ? »