En situation précaire, ces jeunes du programme « veille active » apprécient de se rendre utiles

La présence de cette infirmière est inédite. Et signe que le dispositif est en train de se développer. La distribution alimentaire sert de levier pour évoquer d’autres sujets. « Je viendrai à chaque fois maintenant pour leur parler de la contraception, des violences… », explique l’infirmière.

Les actions de ce type ne sont donc pas près de s’arrêter. Car la crise « est loin d’être terminée », assure Philippe Da Silva. Le conseil départemental souhaite étendre le projet à d’autres communes.