« On s’est inquiété dès le début, reconnaît Philippe Da Silva. On savait que le confinement pouvait entraîner des violences intrafamiliales, du décrochage scolaire, des difficultés pour se nourrir. Alors, on a anticipé. »
Cinq cents jeunes âgés de 11 à 25 ans sont rapidement identifiés. On leur passe des coups de fil réguliers pour prendre de leurs nouvelles. Une page Facebook, un compte Instagram sont créés pour leur offrir un « moyen facile » de contacter la veille.