Il ne reste plus, aujourd’hui, de représentant de la communauté juive à Quatzenheim. Les dernières familles sont parties pour la ville dans les années 1960. Avec leur absence, Yves Bailleux redoute que la mémoire de cette entente entre communautés ne se perde. « C’est une histoire qui revêt un caractère symbolique fort, pourtant, celui de la capacité des gens à vivre ensemble et de la richesse culturelle qu’apporte la diversité », estime-t-il. Pour la faire revivre, il partage le résultat de ses recherches dans le bulletin communal. Lui qui pourtant ne lit pas l’hébreu participe également, chaque mois de septembre, aux Journées européennes de la culture juive.
1+