Je la repousse parce que je suis de ceux qui ont un serrement de cœur et la rougeur au front toutes les fois que la France subit, pour une cause quelconque une diminution de territoire, ou une diminution de grandeur intellectuelle, comme par votre loi !
Avant de terminer, permettez-moi d’adresser, du haut de la tribune, au parti clérical, au parti qui nous envahit, un conseil sérieux.
Ce n’est pas l’habileté qui lui manque. Quand les circonstances l’aident, il est fort, très fort, trop fort ! Il sait l’art de maintenir une nation dans un état mixte et lamentable, qui n’est pas la mort, mais qui n’est plus la vie. Il appelle cela gouverner. C’est le gouvernement par la léthargie. (..)