Il y aurait un champ pour les sanctions, un autre pour la coopération.
Réfléchissant à l’action diplomatique dans un monde interconnecté, la secrétaire d’Etat Hillary Clinton avait défini sa « ligne » en janvier 2009 : « Dans nos relations avec des pays comme la Chine, les droits de l’homme ne peuvent pas faire obstacle à la coopération sur des sujets tels que l’économie, le changement climatique et la sécurité. »