C’est particulièrement net pour les jeunes de moins de 30 ans : ayant de faibles revenus, leurs dons moyens sont moins élevés mais leur effort contributif est aussi important que celui les plus riches. Les dons concernent principalement deux secteurs : l’aide à la recherche médicale et l’action humanitaire et caritative.
Au final, la thèse d’une montée de l’individualisme, qui se voudrait une conséquence inévitable de la modernité, n’est pas confirmée.