On peut bien sûr remarquer que témoigner d’une forte compassion pour autrui ne se traduit pas forcément par des comportements et des actes altruistes et que, d’une manière générale, les individus sont plus facilement solidaires de causes ou personnes leur étant proches.
Délicat passage à l’acte
Selon un sondage IFOP de 2016, deux tiers des Français se disaient altruistes ; or la même proportion estimait aussi que leurs compatriotes n’aidaient pas beaucoup leur prochain.