Un sondage réalisé par les étudiants de Sciences Po auprès d’une centaine de personnes révèle d’ailleurs que 90 % d’entre elles se disent familières des méthodes de fact-checking et très favorables à leur développement.
Mais au-delà de cette appréciation positive du fact-checking par le grand public se pose la question de son efficacité : dans quelle mesure celui-ci permet-il réellement de discréditer certaines fake news et d’endiguer la formation de croyances infondées ?