Dans leur squat « indigne », les « Baras » de Montreuil se préparent à l’expulsion

En Seine-Saint-Denis, « la préfecture a un problème avec l’hébergement des personnes sans titre de séjour, une doctrine qui conduit à transférer la responsabilité aux collectivités locales », estime celui qui est par ailleurs élu à Montreuil. Selon lui, la commune investit « 400.000 euros par an » pour ce squat.

En pleine pandémie et trêve hivernale, il faut trouver des places d’hébergement, faute de quoi « on va immédiatement avoir la reconstitution d’un campement en pleine ville« , prévient Florent Guéguen.