La plupart du temps, les bénéficiaires se contentent d’un sourire, de remerciements, et d’un simple « oui ça va ». Certains osent un timide : « c’est difficile vous savez », rarement plus. « Quelques personnes nous parlent et nous invitent même à manger chez eux parfois mais c’est très minoritaire, rapporte Romain. Ils ne sont pas très bavards mais ils sont tous très reconnaissants. »
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