Les plaignantes assuraient avoir pris de leur propre initiative la décision de porter le niqab et dénonçaient une discrimination, une violation de leur droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion et une atteinte à leur vie privée et familiale.
L’une des requérantes a souligné que la crainte d’être verbalisée l’a contrainte à rester à la maison, réduisant ainsi sa vie privée et sociale.