L’ainé de la famille syrienne, Omeir, voulait quant à lui faire ses prières quotidiennes en classe. Il a fallu faire intervenir l’imam de Châlon-sur-Saône pour que la situation se décante : « L’imam a expliqué au jeune garçon le principe de la laïcité. Il lui a dit qu’il ne devait pas faire ses prières sur le temps scolaire, mais qu’il pouvait les rattraper le soir à la maison », raconte Céline Racine, leur institutrice.
À la recherche d’une France terre d’accueil (2/2)
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