Chaque mercredi, des cours coraniques sont ainsi organisés à Taizé. Frère Maxime y voit là une dimension essentielle pour éviter qu’un vide ne se crée chez les jeunes qui puisse ensuite être récupéré par des groupes radicaux sur Internet.
Grâce aux habitants et à l’accompagnement des frères, les réfugiés tentent de renouer avec la normalité. « Aujourd’hui, nous ne les voyons plus comme des réfugiés. Ce sont devenus des amis, des voisins, des membres de notre famille », explique Orsi Hardi, installée à Taizé depuis une vingtaine d’années.