Ce n’est qu’après cela que nous allons à Auschwitz.
À Auschwitz, ils sont vus comme des Allemands
Beaucoup sont choqués de ce qu’ils y voient.
Beaucoup sont également choqués de ne pas ressentir de choc quand ils y sont. Auschwitz est parfois si noyé sous le nombre de visiteurs qu’il est difficile de vraiment s’impliquer dans l’Histoire.
Mais, à chaque voyage, voilà ce qui se passe: pour la première fois de leur vie, ces jeunes sont considérés comme des Allemands, que ce soit au mémorial du camp ou bien le soir, dans les restaurants de la vieille ville. Et ils se font copieusement insulter en tant que tels par des nationalistes polonais.