« Je ne veux pas les accabler plus que ça » : Akli Tadjer joue la carte de l’apaisement. L’auteur franco-algérien se rend ce vendredi au lycée Pierre Mendès-France, à Péronne dans la Somme, à la rencontre des élèves. Fin septembre, ces derniers ont refusé de lire des extraits de son roman « Le porteur de cartable », sous prétexte que l’écrivain n’était pas français. » Je ne veux pas les traiter de petits fachos, ni de petits nazis. Je vais là-bas pour comprendre. »
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