Malgré le coût très onéreux des séjours (au moins 2 000 € pour deux ou trois semaines hors billets d’avion) les déceptions qu’il engendre souvent chez les participant·e·s, et le rapprochement que font les ONG et les médias de leur fonctionnement avec le « charity business », ni le succès, ni l’activité de ces entreprises à but lucratif ne tarissent.
Les enquêtes ethnographiques insistent sur le désenchantement et les désillusions présents sur les terrains des tourismes solidaire et humanitaire.