Ce tourisme dit « solidaire », « durable » ou « responsable », est parfois décliné en tourisme dit « humanitaire ». Une « tendance » qui attire de nombreuses critiques.
Impulsé, dans les années 1990, par des agences britanniques et étatsuniennes spécialisées, ce dernier a un succès grandissant auprès des jeunes Européens, et notamment des Français depuis plus d’une dizaine d’années, qui partent en « missions » pendant leurs vacances scolaires et universitaires, ou lors d’une année de césure.
10 000 volontaires par an
L’une des principales agences internationales de tourisme humanitaire implantées en France fait partir près de 10 000 volontaires par an, majoritairement anglais·e·s, étatsunien-ne-s, et français·e·s.