Car Catherine, archiviste photo de formation, n’est pas dessinatrice professionnelle. «J’ai commencé à griffonner un mois après les attentats car cela me permettait d’exprimer des choses, ça me soignait, confie-t-elle. Au départ, c’était comme un journal intime, mais mes amis rescapés de l’association Life for Paris m’ont demandé de continuer : ils percevaient le pouvoir pédagogique de ces dessins pour expliquer ce qu’ils traversaient à leur entourage».
La survivante du Bataclan «dépassée» par le succès de sa BD
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