À l’occasion du festival international de la créativité Cannes Lions, une étude s’intéressant à une décennie de publicités anglophones a démontré le sexisme bien ancré dans ce milieu. Un rapport alarmant, mais accompagné d’une bonne nouvelle.
Début mars, une campagne d’Yves Saint-Laurent avait été dénoncée pour son sexisme : l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) avait alors reçu près d’une quarantaine de plaintes, et finalement fait retirer les affiches incriminées. Ces dernières s’inscrivaient dans un contexte publicitaire sexiste, récemment analysé par le Geena Davis Institute, un institut de recherche spécialisé dans la représentation des genres dans les médias.