Au Sénégal, «notre startup a été plutôt bien accueillie, mais la jeunesse est vue comme un handicap. Les médecins ont l’habitude de travailler avec les grandes sociétés d’assurances. J’ai dû me battre, convaincre les médecins d’accepter de rejoindre notre réseau. Les clients aussi, car nous ne communiquions que via les réseaux sociaux. Il s’agissait principalement de bouche à oreille», raconte Boubakar Sagna.
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