Mais les affiches ont suscité de violentes réactions chez certains musulmans, notamment au sein du propre parti d’Asscher. Une représentante travailliste membre du Conseil municipal de Rotterdam, Fatima Talbi, a écrit dans une lettre ouverte sa « fureur » face à la campagne qui, a-t-elle dit, fait des musulmans des « arriérés » en transformant le sujet des mariages forcés en une « question d’intégration ».
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