Une commission internationale dirigée par l’ex-secrétaire général de l’ONU Kofi Annan avait appelé le 24 août, veille du début des hostilités, la Birmanie à donner plus de droits à sa minorité rohingya, faute de quoi elle risque de « se radicaliser« .
Fin novembre, ce sera au tour du pape François, ardent défenseur de la cause rohingya, de se rendre en Birmanie et de rencontrer Aung San Suu Kyi.