En décembre dernier, la députée Leila Chettaoui, présidente de la Commission parlementaire qui enquête sur les filières djihadistes, alertait sur les ondes de Shems FM : des combattants rentrés au pays “sont dans la nature et personne ne peut les identifier”. Dans Business News, Emna Ben Arab, universitaire qui a participé à l’étude de l’Institut tunisien des études stratégiques sur les dangers du retour, avance, elle, que de nombreux djihadistes sont en détention. “Ils reçoivent des visites de la part de leurs proches et jouissent d’un système de soutien psychologique et matériel de leur part.”
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