Au lieu de porter le tee-shirt officiel vendu par la fédération de lutte, Julie a dû se couvrir les bras en mettant des manches longues, à la demande des responsables du club. Et un bas de jogging à la place du short. Pour elle, c’est le fait même d’être une femme qui a posé problème.
Un petit garçon, qui au début voulait bien lutter avec moi, après n’a plus voulu. Il m’a dit : ‘Non ma religion m’interdit de toucher aux femmes.’