Pourquoi il ne faut pas oublier les câlins

Dans un monde où l’échange virtuel est roi, le câlin n’est jamais superflu. A l’occasion de la Journée mondiale des câlins, le 21 janvier, voici cinq bonnes raisons de ne pas s’en passer.

article par Marlène Duretz publiés sur le site lemonde.fr, le 20 10 2020

Un câlin ? A quoi bon repousser ce bienfaiteur rapprochement qui agit sur notre bien-être physique et notre équilibre affectif ? Platonique, amoureux ou confraternel, avec un proche, un inconnu, un animal, ou son ours en peluche, le câlin a de bénéfiques vertus qui ne doivent pas se limiter à la seule Journée internationale des câlins, ce 21 janvier. Si le site journee-mondiale.com préconise « 7 minutes de câlin par jour pour se sentir heureux », la psychothérapeute américaine Virginia Satir voit les choses différemment : « Nous avons besoin de quatre câlins par jour pour survivre. Nous en avons besoin de huit pour fonctionner. Et de douze pour croître. »