Le jour de l’audience, trois cents personnes ont manifesté devant le tribunal, dénonçant un procès politique visant à dissuader les gens d’aider les migrants en instaurant un précédent judiciaire propre à les intimider.
Les prévenus sont deux journalistes belges, une travailleuse sociale belgo-marocaine et un Tunisien résident belge régulier, ainsi que sept migrants sans-papiers. Huit des prévenus sont en détention depuis leur arrestation.