Martine Brunschwig Graf, présidente de la Commission fédérale contre le racisme, la qualifie quant à elle de «problématique». «Cela renforce l’image qu’un nom à consonance étrangère représente un désavantage et ne fait pas vraiment partie de la Suisse», se désole la Genevoise dans la SonntagsZeitung . «On ne peut pas les accuser de xénophobie. Par contre, ils anticipent à tort une attitude hostile aux étrangers de la part de leurs clients, estime son collègue de commission, le politologue Nenad Stojanovic, dans le Blick de mardi. La population doit montrer qu’elle n’a aucun problème avec les noms à consonance étrangère. Si cela ne suffit pas, les citoyens devraient résilier leurs contrats avec Swiss Life.» (24 heures)
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31.03.2017