Les chercheurs ont également découvert un cas où les employés d’un call center avaient été invités à choisir un pseudonyme. «La raison première évoquée est de les protéger des attaques et des insultes. Mais cela révèle également d’une volonté d’implanter à l’extrême les prestations du call center dans le cadre culturel et régional du groupe cible.»
Swiss Life qualifie ainsi la pratique de «courante dans la branche», mais trouve peu de soutien. L’association faîtière Callnet a vivement réagi, soulignant que le code de conduite de la branche ne tolère pas les faux noms, et ce notamment en raison du contrat de confiance qui l’unit au client.