Latifa Ibn Ziaten : une main tendue à la jeunesse

Il ne faut pas perdre l’espoir. Moi je ne perds pas espoir. Moi la seule chose que je dis, c’est: où ils sont ces français qui m’ont aidée? Où ils sont ces français qui m’ont fait aimer la France ? Où ils sont ces français qui m’ont appris la valeur? Où ils sont partis? Où ils sont ? Alors il faut qu’ils se réveillent, on a besoin d’eux. On a besoin d’eux, qu’ils disent “voilà, on est là”. C’est très important.