« Les élèves adhèrent très massivement à cette idée de non-discrimination, de respect et de tolérance des opinions religieuses. Mais ils ne veulent pas que la religion interfère pas dans le fonctionnement scolaire », observe Barbara Fouquet-Chauprade, sociologue de l’éducation, maître d’enseignement et de recherche à l’Université de Genève. Car 64 % des élèves de 3e et 62 % de ceux de terminale considèrent qu’il est important que la religion des élèves ne soit pas visible dans l’espace scolaire.
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