Il existe bien un patrimoine oriental dans ses deux dimensions arabe et syriaque, musulmane et chrétienne, qui s’interpénètrent et se complètent. C’est ce que je voulais montrer dans mon livre, en soulignant le problème de l’exclusion du syriaque du discours arabe dominant. Si le chrétien oriental était reconnu dans son identité culturelle et linguistique, cela l’aurait apaisé et facilité son intégration dans le melting-pot régional.
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17.04.2019