La richesse ne vient pas forcément avec l’argent, et le cinquantenaire le sait. Il y a 20 ans, il a commencé à récupérer dans les quartiers les plus aisés de Bogota, lors de sa collecte des ordures, des livres voués à être jetés. Il les a regroupés chez lui, et les a mis à disposition, d’abord de ses voisins, puis de la population, en créant une bibliothèque gratuite qu’il a nommée « La fuerza de las palabras », soit « La force des mots », ouverte à ceux qui souhaitaient repartir avec un peu de lecture.
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29.05.2017