Pour Martine Bourgelas et Francis Fondeville, qui ont tous les deux grandi à Pessac, cette solidarité était bien vivante et ne relève pas de la légende dorée. “Il y avait une vie communautaire assez importante pendant quelques années, avec une coopérative alimentaire tenue par les Castors. Les femmes se sont occupées avec la CAF de mettre en place des cours de gym, des leçons de piano, des consultations pour les nourrissons”, raconte Martine Bourgelas.
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