« Lorsqu’une personne est sans-abri ou hébergée dans des conditions qui ne permettent pas son isolement, et qu’elle est porteuse du Covid-19, il est nécessaire de mettre en place un substitut de domicile avec une surveillance infirmière », explique l’ARS.
«Il fallait tout faire pour que les plus fragiles des Franciliens ne se retrouvent pas sans rien»
Pour pouvoir repérer ces sans-abri, l’instance de santé affirme avoir multiplié ses nombres d’équipes sur le terrain. In fine, c’est un médecin de l’ARS qui décide si un sans-abri nécessite d’être admis dans ce nouveau centre d’accueil pendant la durée de sa guérison.