L’hormone a eu un effet seulement lorsqu’on a dévoilé aux sujets xénophobes le niveau de générosité moyen des autres participants. Dans ce cas, la générosité des sujets xénophobes envers les étrangers a augmenté de 74 %.
Cela fait croire aux chercheurs que la pression sociale, en plus d’une dose d’ocytocine, permet de contrecarrer certains effets de la xénophobie. Pour ce faire, ils suggèrent de « promouvoir les interactions sociales positives entre les citoyens de pays hôtes non seulement en communiquant des normes prosociales, mais en affirmant et en mettant l’accent sur les bienfaits de la diversité ethnique, de la pluralité religieuse et des différences culturelles ».